place Taksim -
des mains se joignent
pour semer des lendemains
Je vis un homme, seul, sur la terrasse de sa maison,
Qui foulait sous ses pieds, avec mépris, de l'argile ;
Et cette argile, dans son mystique langage,
lui dit :
" Calme-toi, un jour, on te foulera comme tu me foules. "
Quatrain du poète Persan OMAR KHAYYAM 12e S